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SODOMIE DU MATIN, CHAGRIN, SODOMIE DU SOIR, BON SOIR.

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Histoirettes

Samedi 6 janvier 6 06 /01 /Jan 13:40

Je viens d'avoir 30 ans et au dire de mes amies je suis un assez jolie femme noire. J'ai la tête sur les épaules, je sais ce que je veux et je ne me laisse pas embêter facilement.
Cette histoire m'est arrivée il y a pas mal de temps déjà, j'avais 16 ou 17 ans je crois bien. J’étais en stage dans une société de prêt à porter de luxe dans le 10ème arrondissement à Paris. J'effectuais un stage de 3 semaines comme assistante styliste.
Mon patron était un homme d'une cinquantaine d'années, un turc assez bel homme, il m'aimait beaucoup et me laissait faire un peu ce que je voulais. Il dirigeait la société avec son fils, 30 ans environ, laid comme un poux, sale, les dents jaunies et détruites par le tabac et je ne sais quoi d'autre. De petits yeux, mi-clos, noisette, pervers.
Ce jeune homme passait ses journée, la tête penchée sur mon épaule et il ne cessait de me dire " tu es vraiment très belle, très belle", quand il souriait et me montrait ses dents sale, j'en avais un haut le coeur. Je priais chaque jour pour ne jamais me retrouver seule avec lui. A chaque fois qu'il venait me tourner autour il y avait toujours une collègue pour m'en débarrasser.
Mon dernier jour tombait le jour d'une fête turc, et j'étais contente parce que je pouvais partir plutôt. Mais ce petit salopard a convaincu son père de me garder dans la boite jusqu'à 18h, parce que disait-il s'il m'arrivait un accident c'est eux qui le payerait (ce qui n'était pas faux).
Donc j'ai vue tout le monde partir joyeusement, et ce con adossé à la porte me faire un grand sourire.
Voilà nous étions seuls.
Je restais dans mon coin et attendais l'heure du départ. Mais j'avais mon dossier de stage à remplir et à faire signé, par lui, le papa étant parti. J'ai donc pris mon courage à deux mains et suis allé dans son bureau. Je l'ai trouvée assis à son bureau, il se roulait un énorme joint.
Quand il m'a vue il s'est levé brusquement et est venu vers moi, j'ai pris peur et suis partie en courant m'enfermer dans les toilettes.
Il était déjà dans mon dos quand j'ai tentée de fermer la porte, il m'a poussé à l'intérieur, et pour me rattraper j'ai posée les deux pommes de main sur le rebord de la cuvette. Il a appuyé une main sur mon dos afin que je ne me redresse pas, a écarté mes jambes avec son pied, soulevé ma jupe jusqu'à ma tête et déchiré mon string. Il avait déjà la queue dehors, parce que j'ai été pénétrée violemment et sèchement. Il n'avait pas lâché son joint qui empestait dans les toilettes. J’étais dégoûtée mais plus il faisait de va et vient dans ma chatte plus je me rendait compte, avec horreur, que je mouillais. Je l'entendais souffler comme un porc derrière moi:
"Putain ce que tu es bonne, t'aime ça ma petite chienne hein ?!"
Moi je ne faisais aucun bruit, je ne voulais pas qu'il sache que ça me plaisait, mais c'est vrai je mouillais tellement qu'une flaque s’était formée par terre :
"Tu mouilles ma petite cochonne, je savais que tu aimais la bite, après tu vas me sucer à fond garage à bites"
Je ne tenais plus j'avais les jambes qui tremblaient, je me suis mise à hurler:
"Oui, ouiiiiiii, vas y défonce moi, défonce moi la chatte, bourre moi bien, comme je le mérite"
Je n'aime pas la vulgarité mais là c'est sorti tout seul !
"Ne t'en fais pas petite pute, tu en veux tu vas en avoir, bouge ton gros cul poufiasse"
J'ai bougée mon cul, j'étais comme folle, je me masturbais, maltraitais mon clitoris, j'ai enfoncée 2 doigts dans ma chatte avec sa bite. La cendre et la sueur tombaient sur mon dos. Pendant que je m'appliquais à faire des va et vient rapides et brutaux, il s'était penché et attrapait mes seins, il tirait sur mes tentons et les pressait entre son pouce et son index très fort, ce qui me faisait assez mal, mais ce que j'avais dans la chatte me le faisait oublier. Il respirait très fort dans mon oreille, en me traitant de salope, de chatte à foutre, chienne de rue. Il m'a pris par le ventre et m'a mise à quatre pattes. Il a écarté mes fesses et a enfoncé sa queue dans mon petit trou sèchement, mais heureusement sa bite était lubrifiée de ma mouille. Comme c'était la première fois, ça me faisait mal et il n'allait pas doucement, je le suppliais d'arrêter, mais au lieu de ça il a agrippé mes cheveux :
"Ta gueule petite pute, je veux te bourrer le cul, alors je vais te bourrer le cul"
Et plus il mettait de coups dans mon anus, plus je devenais folle, il disait :
"Oh putain, oh putain, je suis tombé sur la plus grosse salope de Paris, oh putain, oh putain"
J'ai attrapé le balai à chiot et me suis masturbée avec le manche, puis me le suis enfoncé dans le con. J'étais sur le point de jouir, alors j'ai serré le manche à balai entre mes cuisses et j'ai jouie, j'ai crié, j'ai un peu pleuré je crois. Il a tiré très fort sur mes cheveux:
"Oh putain je vais jouir, je vais jouir, vite ta bouche"
il est très vite passé devant moi, d'un coup sec a calé sa bite dans ma bouche et j'ai senti le liquide chaud coulé le long de ma gorge. Il a maintenu ma tête un long moment, continuant encore à faire des va et vient dans ma bouche.
Il a repoussé ma tête, presque à ce qu'elle cogne contre le mur, s’est relevé, est sorti sans dire un mot.
Je me suis rhabillée dans les toilettes et suis allée le rejoindre dans son bureau.
Il remplissait mon dossier de stage, et sur une page il y avait la question : Le stagiaire comprend t-il tout ce qu'on lui demande ?
Ce con a écrit: Oui, mais pas très vite.
Il a rajouté un 18/20 en me disant:
"Tu vois quand tu es gentille?!"
Il était 18h30, j'ai pris mon sac et sans dire au revoir je suis parti en claquant la porte.

Par RAMON - Publié dans : Histoirettes
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Dimanche 11 décembre 7 11 /12 /Déc 17:44

"J'avais décidé d'aller voir Har.. Pot....

Je pensais qu'à la dernière séance du soir il n'y aurait pas trop de monde. Tu parles, j'arrive 15 minutes avant la fin de la séance et il y a déjà une de ces queues. Enfin, j'ai rien d'autre à faire et je n’ai pas envie de rentrer me coucher, alors je vais prendre mon mal en patience.

Donc je m'installe. Il y a beaucoup de monde, les uns derrières les autres. Il n'y a pas d'enfants, uniquement des jeunes et quelque moins jeunes. La foule est de plus en plus importante et je me retrouve collée devant et derrière. Il reste encore 12 minutes.

J'essaye d'avoir un peu d'air et je bouge un peu. Me retournant légèrement, je vois la personne qui me suit, un charmant jeune homme au torse large avec un grand sourire aux lèvres. Je lui sourie en retour et je me retourne.

Je sens alors une main qui se pose sur mes fesses. Il se débrouille bien, pas trop ferme mais suffisamment pour faire monter le désir.

Je fais de léger va et vient de droit à gauche bien collé à mon voisin. Je commence à sentir une bosse dans son pantalon.

Discrètement je trouve ma jupe portefeuille de façon à mettre l'ouverture à l'arrière. Mon voisin comprend immédiatement l'invitation m'aide même. Il glisse la main dans la fente et me caresse les fesses.

J'écarte légèrement les jambes, il essaye de glisser jusqu'à mon sexe mais sans succès s'il souhaite être discret. Il se mets alors immédiatement à caresser mon anus, il pénètre un doigt. Je mouille de plus en plus, ma respiration s'accélère et au rythme qu'il donne à ses caresses je comprends que cela ne lui échappe pas.

Il me bouscule en bougeant et arrête ses caresses quelque seconde. Puis se colle à nouveau contre moi. Il reste encore un peu plus de 5 minutes jusqu'à la fin du film, puis le temps que la salle de vide et seulement alors les caisses seront ouvertes. Je n'ai plus hâte que le temps passe et je profite de mon plaisir.

Il me caresse les fesses et mon anus. Y pénètre apparemment maintenant 2 doigts, puis je sens quelque chose se coller contre et me pénétrer.

Je ne peux m'empêcher de pousser un petit cri et il pose immédiatement une main sur ma bouche. Hummmm il fait de léger va et viens, me pénètre de plus en plus, ma tête tourne, le plaisir est très intense. Je pense que le fait de le faire ainsi au milieu de la foule démultiplie notre plaisir. Le film se termine dans 2 minutes. La foule commence à bouger et nous restons collés l'un à l'autre. Les caisses s'ouvrent et la queue se désintensifie un peu et il en profite donc pour faire de plus amples va et vient.

Heureusement tout le monde est tellement occupé à avoir un billet que personne ne fait attention à notre manège. C'est bientôt à nous, il se retire sans avoir giclé. C'est mon tour. Je demande un billet. Il en demande deux à la caissière et paye. Il me tend un ticket, je le remercie et m'éloigne pendant qu'il finit de payer et range sons portefeuille.

J'avance en direction de la salle. Une main me saisie dans la foule et m'attire vers les toilettes. Je reconnais mon inconnu. Il ouvre la porte des toilettes handicapées, plus spacieuses, rentre derrière moi et referme la porte.

Il ouvre les boutons de ma jupe et la laisse tomber au sol. Il pose ses mains sur mes épaules appuie légèrement pour me mettre à genou. Il sort son sexe et me dit. Suce ! Le désir est encore tellement intense que je lui suce le gland. Il me l'enfonce dans la bouche et me donne le rythme. Il gémit légèrement, je sens qu'il va bientôt venir. Il m'arrête me relève et me dit : "Ah non, vous n'allez vas pas vous en sortir comme ça !"

Il m'assoit sur le toilette, se mets devant moi et commence à me lécher le clito, m'enfonce un, deux doigts au plus profond de ma chatte. Je gémie et je joui. Il me relève, me cambre avec les mains sur le lavabo, me pénètre la chatte avec son sexe en érection et me ramone avec application.

Le film a commencé depuis quelques minutes, mais peu important, je cherchais à me détendre, pour le cou, je suis détendue.

Il ralentit sa besogne et sort même sa queue, je me demande ce qu'il encore me faire, à la fois craintive et très excitée.

Il pose son bâton sur mon petit trou et me pénètre en une fois jusqu'au fond et me défonce avec encore plus de fougue. Nous gémissons tous les deux.... jusqu'à jouir ensemble.

Nous faisons un brin de toilettes et nous rendons dans la salle pour voir quand même une partie du film et nous remettre de nos émotions.

La salle est bondée et nous ne trouvons de place qu'au premier rang contre le mur. Il se mets contre le mur moi à ces côtés.

Nous regardons le film quelques minutes puis il pose sa main sur la mienne. La prend et la dirige vers lui, me la pose sur son sexe au repos. Il dirige ma main pour que je le masturbe.

Je m'exécute, je le caresse pendant de longues minutes. Son sexe se réveille progressivement. Il pose un bras sur mes épaules. Ma main est de plus en plus active, je le sens se crisper, je ralentis pour recommencer de plus belle dès que je le sens se relâcher légèrement, ainsi de suite pendant toute la durée du film. Nous approchons de la fin, je ne ralentis plus ma besogne, son sexe est de plus en plus dur, je le branle déjà depuis une heure environ.

Avec sa main sur mon épaule, il me fait courber la tête, m'empale la bouche sur son sexe et m'explose dans la bouche, je lèche tout, puis je l'embrasse pour que nous puissions partager son foutre.

Il range son engin. Le film se termine. Nous nous disons au revoir. Je m'éloigne dans la foule.

Donc, je ne peux que vous conseiller d'aller voir le dernier Har.. Pot..., c'est un moment de très très grand plaisir."

Hermi.....

Par RAMON - Publié dans : Histoirettes
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Au pif...

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